
Ci-dessus: Une des voitures utilisées pour l'adaptation en film live du manga Initial D.
Ci-dessus: La Toyota Corolla GT Groupe A au volant de laquelle le pilote Renaud Verreydt s'est révélé en Championnat de Belgique des rallyes, ici photographiée lors de l'Omloop van Vlaanderen 1987.
Ci-dessus: La Toyota Corolla GT avec laquelle courait René Duval (le père de l'autre ;) ) au début des années 1990.


... alias Corolla Levin, Sprinter Trueno (la version à phares escamotables popularisée par le manga Initial D ;) ) ou encore, dans nos contrées, Corolla GT, auto faisant l'objet d'un culte, pas forcément justifié, de la part de la génération ayant, contrairement à moi, lu des mangas et beaucoup joué à la PlayStation 2. Idolâtrie excessive, selon moi parce que:
1) en la créant, Toyota n'a pas réinventé le fil à couper le beurre, juste remis au goût du jour la recette, à savoir un savant mélange de classicisme (moteur longitudinal avant et transmission aux roues arrière, suspensions) et de modernisme (le fameux moteur 4A-GE (en), qui cumulait des technologies encore peu usitées à l'époque et parfois même encore de nos jours comme: alimentation par injection électronique multipoint, admission variable T-VIS, culasse multi-soupapes, distribution par double arbre à cames en tête entraînés par courroie crantée), qui faisait le charme et a fait le succès de certaines Alfa Romeo ou des variantes sportives des Ford Cortina Mk I & II et Escort Mk I dans les années 1960-70.
2) en la mettant sur un piédestal, les apprentis drifteurs (de salon?) réécrivent l'histoire, l'AE86 n'ayant connu en France, entre autres pour des raisons politiques aujourd'hui révolues, qu'une diffusion archi-confidentielle (moins de 300 exemplaires vendus) et un retentissement médiatique quasi-nul à l'époque de sa commercialisation, entre 1983 et 1987, la vraie vedette des petites sportives s'appelant alors... Peugeot 205 GTI, avec ses 294 000 exemplaires produits entre 1984 et 1994.
Cela étant dit, la bête n'en reste pas moins sympathique à piloter et à entendre (grâce à la hargne légendaire de son propulseur... que le régime, certes élevé mais pas exceptionnel, de 6600 tours par minute auquel il développe sa puissance maximale de 124 chevaux, ne met pas forcément en valeur) et voir passer en rallye (cf. vidéos ci-dessous), le tout étant de raison garder. ;)
1) en la créant, Toyota n'a pas réinventé le fil à couper le beurre, juste remis au goût du jour la recette, à savoir un savant mélange de classicisme (moteur longitudinal avant et transmission aux roues arrière, suspensions) et de modernisme (le fameux moteur 4A-GE (en), qui cumulait des technologies encore peu usitées à l'époque et parfois même encore de nos jours comme: alimentation par injection électronique multipoint, admission variable T-VIS, culasse multi-soupapes, distribution par double arbre à cames en tête entraînés par courroie crantée), qui faisait le charme et a fait le succès de certaines Alfa Romeo ou des variantes sportives des Ford Cortina Mk I & II et Escort Mk I dans les années 1960-70.
2) en la mettant sur un piédestal, les apprentis drifteurs (de salon?) réécrivent l'histoire, l'AE86 n'ayant connu en France, entre autres pour des raisons politiques aujourd'hui révolues, qu'une diffusion archi-confidentielle (moins de 300 exemplaires vendus) et un retentissement médiatique quasi-nul à l'époque de sa commercialisation, entre 1983 et 1987, la vraie vedette des petites sportives s'appelant alors... Peugeot 205 GTI, avec ses 294 000 exemplaires produits entre 1984 et 1994.
Cela étant dit, la bête n'en reste pas moins sympathique à piloter et à entendre (grâce à la hargne légendaire de son propulseur... que le régime, certes élevé mais pas exceptionnel, de 6600 tours par minute auquel il développe sa puissance maximale de 124 chevaux, ne met pas forcément en valeur) et voir passer en rallye (cf. vidéos ci-dessous), le tout étant de raison garder. ;)
Ci-dessous: Compilations de passages de Toyota Corolla GT alignées sur divers rallyes finlandais:
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